Commerce B2B 2.0 et plateformes de commerce unifié
Qu’elle que soit son secteur d’activité, la majorité des entreprises les entreprises sont confrontées à une nouvelle réalité où le B2B et le B2C convergent. Le B2B était autrefois considéré comme lent et stable, comparé au B2C rapide et flexible. Mais cette vision est dépassée, car le B2B évolue plus rapidement que jamais.
L’étude SaaSPath 2023 d’IDC révèle que seuls 16,8 % des acheteurs suivent le modèle B2B traditionnel. La plupart d’entre eux (52,8 %) préfèrent un modèle B2B2C, qui nécessite des solutions de commerce unifié.
La pandémie mondiale a accéléré ce changement, car les entreprises B2B ont dû s’adapter à la nouvelle normalité. Avec moins de contacts en face à face, les plateformes digitales sont devenues le principal moyen d’atteindre les clients. Les entreprises B2B ont dû s’aligner sur les entreprises B2C, sans quoi, elles risquaient d’être perdantes.
Les stratégies de transformation digitale sont essentielles pour survivre dans ce nouveau paysage. IDC rapporte que 69 % des acheteurs de technologie B2B s’attendent à dépendre davantage du e-commerce et moins des canaux de vente traditionnels. Le défi est le suivant : le B2B peut-il suivre cette évolution ?
Pour réussir cette transformation, les entreprises doivent tenir compte de trois facteurs clés : la nécessité d’obtenir des résultats rapides et mesurables, la valeur d’une plateforme de commerce unifiée et l’absence de structures de commerce complexes et rigides. Tout est question d’adaptabilité, car les meilleures plateformes B2B offrent des possibilités infinies sans imposer de limites inutiles.
Commerce B2B 2.0
Pourquoi les acheteurs B2B se tournent vers les plateformes de commerce unifié?
Les clients B2B ont également des attentes plus élevées qu’auparavant. Ils veulent le même type d’expériences que dans le B2C : personnalisées, flexibles et adaptables.
C’est pourquoi IDC pense que l’avenir du commerce B2B est le commerce B2B 2.0.
Avec des plateformes modulables et adaptables, comme OroCommerce, les entreprises peuvent combiner l’agilité du B2C et les fonctionnalités prêtes à l’emploi du B2B sans sacrifier le temps ou le coût d’un projet. Cette flexibilité ouvre une multitude de possibilités pour les entreprises B2B :
- En tant que fabricant, vous pouvez ouvrir un canal headless DTC (Direct to Consumers) et de marque distincte qui exploite le même back-office et la même plateforme ERP que le portail de commande de votre distributeur de marque. D’un point de vue visuel et ergonomique, ce canal est totalement différent et dispose de son propre front-end.
- Vous pouvez intégrer un distributeur récemment acquis dans votre système existant, avec son propre site web, ses administrateurs, ses autorisations, son équipe de vente, son catalogue, ses règles de pricing et ses automatismes.
- Vous pouvez vous développer à l’échelle mondiale avec un contenu, des prix et une logique d’exécution localisés, spécifiques au nouveau marché, sans partir de zéro, sans construire un nouveau back-end ou sans ajouter plus de technologie, plus de licences et plus de coûts.
Les fabricants et les distributeurs qui veulent développer leur commerce B2B en ligne doivent choisir des plateformes qui allient la rapidité du B2C à la complexité du B2B, ce qui permet un déploiement plus rapide et une plus grande flexibilité pour créer les expériences que vous et vos acheteurs souhaitez.
Cet article a été rédigé sur la base du récent rapport IDC « Commerce B2B 2.0 et plateformes de commerce unifié ». Vous pouvez lire la version complète gratuitement ici.